Articles de Presse



Ouest-France Publié le 

Sautron. Le composteur d’Orée-du-Bourg en place depuis trois ans


Le compost, enjeu écologique, permet de réduire nos ordures ménagères et participe à l’enrichissement de la terre du jardin. Depuis la mise à disposition par le diocèse d’une parcelle de 1 600 m2 en cœur de bourg derrière la vicairerie, deux composteurs, fait maison, ont été installés sur ce terrain en 2020.

En avril 2021, un bac de récupération a été placé à l’entrée du jardin avec distribution de petits seaux donnés par Super U aux trente-cinq familles du quartier. Ces composteurs servent aussi de support pédagogique aux élèves des trois écoles lors des visites avec leurs enseignants.

« Nous avons en projet un troisième composteur en fonction des nouvelles directives européennes », déclare Bruno Sorin, qui a été formé par Compostri, association qui travaille avec Nantes métropole.

Les bénévoles sont toujours les bienvenus pour faire fonctionner ce jardin qui distribue de manière solidaire ses récoltes. Les dons sont aussi nécessaires pour construire et améliorer cet espace qui a évolué de manière significative.

Tous les mardis et samedis, le public peut rencontrer des bénévoles, de 9 h 30 à 12 h 30.

Contacts : jardinpartagesautron@gmail.com , Martine Berreur, présidente : tél. 06 10 07 95 38.

-----

Sautron. Un composteur partagé

Presse océan -  Publié le 

Depuis décembre 2019, le jardin partagé en permaculture s’est installé sur un terrain appartenant au diocèse, en plein cœur de Sautron. Ses adhérents ont voulu peaufiner leur philosophie de recyclage et de réduction de l’impact environnemental en installant deux composteurs réalisés en éco-construction (recyclage de palettes). 
Bruno Sorin a suivi une formation auprès de Compostri et a mis en place un circuit.  Le compost obtenu dans nos deux composteurs enrichit nos plates-bandes en améliorant la fertilité du sol, régénère la terre, rend le sol plus vivant  précisent les bénévoles. 
Mais leur démarche se veut communautaire car ils ont installé à l’entrée du jardin partagé un contenant afin que le voisinage puisse alimenter le composteur. Les voisins, munis d’un seau fourni par l’association, viennent vider leurs déchets organiques et participer ainsi à la réduction des déchets et à l’enrichissement de la terre.

---------------------------------------

Ouest-France Publié le 19/09/2023 


Samedi après-midi, de nombreux visiteurs ont pu apprécier l’évolution permanente de ce jardin partagé.

Sur ces 1600 m² en plein centre-ville, derrière la résidence de la Blanchardière, beaucoup de parcelles cultivées en permaculture permettent de récolter des fruits et légumes qui seront donnés dans un but caritatif.

De nombreux parents avaient inscrit leurs jeunes enfants pour construire leurs propres nichoirs à oiseaux, avec des matériaux donnés par l’association. Les tout-petits ont pu profiter du point lecture.

Ce jardin, ouvert tous les mardis et samedis, de 9 h 30 à 12 h 30, permet aussi aux élèves des écoles de se former à la permaculture en entretenant leurs propres parcelles.

L’association, avec sa quinzaine de bénévoles, recherche encore quelques volontaires, surtout pour les travaux lourds, même si ce n’est que ponctuel.

---------------------------------------


Publié le 

Sautron. Succès des portes ouvertes au jardin partagé


La section permaculture de l’association du Lien sautronnais a organisé sa troisième porte ouverte, samedi, au jardin partager de l’Orée du Bourg, rue de la Vicairerie.

Un petit coin lecture avec des livres sur les animaux du jardin était aménagé pour les enfants, à partir de 3 ans. Un atelier bois a permis aux enfants, à partir de 6 ans, de construire des nichoirs et des carrés potagers.

Un joli moment de partage entre les anciens et les enfants. | PHOTO PRESSE OCÉAN


À l’ombre des fruitiers, les résidents de l’Ehpad « L’Air du Temps » et les enfants des écoles ont partagé un goûter et un joli moment. Puis les écoliers sont allés s’occuper des plantes qu’ils avaient installées un peu plus tôt dans l’année.

Des animations sont programmées régulièrement dans le jardin partagé de l’Orée du bourg, avec les résidents du domicile collectif les Glycines, les enfants des trois écoles ou toutes personnes désireuses de s’informer sur la permaculture.

Une observation des papillons de nuit a été organisée conjointement par Sautron nature et le jardin partagé début juin.

Une quinzaine de participants s’étaient donné rendez-vous la nuit au cœur du bourg


Des bénévoles peuvent rejoindre l’équipe pour continuer à faire vivre ce jardin

---------------------------------------


Publié le 15/Ouest France 

Un gouter au jardin partage de l'orée du bourg

Bruno Sorin explique aux institutrices et aux seniors l’objectif de ce rassemblement. | OUEST-FRANCE


Jeudi, des résidents de l’Ehpad l’Air du temps ont été invités à partager un goûter avec les enfants des classes CP de Sautron au jardin partagé de l’Orée du bourg.
 
Cette animation, inscrite dans le projet pédagogique des écoles, permet de regrouper les acteurs des différentes activités de l’année : la distribution de produits à Sautron solidaire ; l’animation avec les résidents des Glycines ; les ateliers pédagogiques avec les jeunes élèves… et de favoriser les échanges pour clôturer la saison de façon conviviale. Marie-Cécile Gessant, la maire, et Lionel Plouhinec, membre du conseil municipal étaient présents.

Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux bénévoles pour pérenniser et développer nos activités », souligne Bruno Sorin, qui se dit satisfait de ce rendez-vous :


---------------------------------------

Publié le Ouest France 
Les papillons de nuit s'observent au jardin de l'orée du bourg 
L’observatoire installé au jardin partagé de l’Orée du bourg. | OUEST-FRANCE

Après la pandémie, l’observation des papillons de nuit a repris, vendredi 3 juin, à 22 h, au jardin partagé de l’Orée du bourg. 
Cette animation, organisée par Sautron nature et le jardin partagé, a permis de rassembler une quinzaine de participants vers 21 h 30. L’ouverture aux habitants de Sautron et la coopération inter-associative furent réussies.

Caroline Houalet, présidente de Sautron nature, a expliqué l’intérêt et la durée de vie des papillons de nuit en France, qui représentent plus de 90 % de cette espèce (5 000 contre 300 pour celles de jour). 

Pour cette observation, un drap vertical et un autre posé au sol, avec deux lampes adaptées, ont été installés. À la tombée de la nuit, les premiers papillons se sont posés sur le drap, une cinquantaine de papillons de nuit ont pu être identifiés. 


Caroline remarque : « Plus la flore est variée, plus il y a des papillons de nuit, ce jardin partagé en est un exemple. » Bruno Sorin, très satisfait de cette initiative, assure : « Nous renouvellerons cette opération à une période plus avancée. »


Vers minuit et demi, les participants se sont séparés avec des papillons dans les yeux.


---------------------------------------
Publié le Presse Océan

Sautron. Le jardin partagé de l’orée du bourg accueille des futurs paysagistes



Le jardin partagé en permaculture de l’orée du bourg porte bien son nom. Car il accueille régulièrement, outre ses adhérents, des enfants des écoles, des résidents des maisons de retraite, etc.

Le jeudi 5 mai, des élèves de l’établissement public agricole Nantes Terre Atlantique du site de formation Jules Rieffel sont venus le découvrir. 


Au total, 19 adultes en reconversion qui préparent un CAP jardinier-paysagiste étaient présents. Leur visite s’inscrivait dans le nouveau module « potager en permaculture » de leur cursus.


Martine Berreur, présidente du jardin partagé, et Bruno Sorin ont expliqué le projet du jardin. La mise en œuvre de la permaculture s’appuyant sur la rotation des cultures et l’association des plantes.

Les échanges ont été nombreux et chacun a pu partager son expérience.

---------------------------------------

Publié le Ouest France 

Sautron. Vingt adultes initiés à la pratique du jardin partagé

Jeudi, les jardins partagés ont accueilli une vingtaine d’apprenants du lycée Eiffel, en formation depuis neuf mois. 

Ces stagiaires suivent un cursus de reconversion professionnelle qui est validé par un diplôme CAP jardinier paysagiste acquis après une évaluation pratique et orale. 

La formatrice, Annie Ardois, qui enseigne sur les potagers essaimés, a pu, avec son groupe, découvrir ce lieu en perpétuelle évolution, où poussent de nombreuses espèces en permaculture.

Ce groupe de femmes et d’hommes issu du département, a des origines professionnelles très variées (boulanger, électricien, milieu médical…) et des objectifs différents : travail en plein air, envie de changement, se rapprocher de la nature… Dès la fin du mois, avec le diplôme en poche ils seront prêts à intégrer les entreprises.

---------------------------------------

Publié le 10/


---------------------------------------

 Publié le 23


---------------------------------------

Publié le 23Ouest-France

Sautron. La solidarité pousse au jardin partagé


---------------------------------------

Publié le 

Sautron. « Mieux cultiver, mieux manger » : on en parle ?Voir en plein écran


Samedi, Arnaud Meillarec, auteur et conférencier de Cordemais, animera une conférence d’une heure sur l’alimentation issue de la permaculture. Il proposera des clés théoriques et pratiques pour se nourrir sainement.

L’écologie n’est pas une science réservée à une frange de la population mais bien l’affaire de tous. Elle commence par des gestes simples du quotidien et une autre façon de voir le monde.

À la suite de cet exposé, une visite du jardin partagé avec des temps d’échanges permettra d’apprécier le travail de tous les bénévoles. Le public pourra signer le livre d’or de l’association mis en place par Sylvie Morin. Un petit recueil de recettes d’été sera mis à votre disposition par l’association.

En complément de divers dons, une cagnotte et une tombola permettront de continuer l’aménagement de cet espace. Début septembre, lors du forum des associations, les gagnants repartiront avec des paniers garnis.

---------------------------------------

Publié le 

Sautron - Les aînés au jardin

Les résidents du domicile collectif Les Glycines n’ont pas hésité à plonger les mains dans la terre lors d’une animation proposée par les responsables du jardin partagé en permaculture de l’Orée du bourg.

Les bénévoles de ce jardin, pas comme les autres, ont fabriqué des bacs en hauteur afin de faciliter leur accès à des personnes âgées ou handicapées.

Bruno Sorin et Robert Daubrée, fondateurs du jardin, ont expliqué à leurs visiteurs le fonctionnement et les activités de cet espace. Après la visite des enfants il y a quelques semaines, les aînés ont pris le relais et, de ce fait, mettent en lumière l’une des ambitions phares du jardin : la solidarité intergénérationnelle.

Les résidents du domicile collectif Les Glycines n’ont pas hésité à plonger les mains dans la terre lors d’une animation proposée par les responsables du jardin partagé en permaculture de l’Orée du bourg.



Publié le 

Sautron. Découverte et échanges au jardin partagé



Publié le 

Sautron. Au jardin, avec la permaculture, « rien ne se perd ! »


---------------------------------------

Publié le 

Des-arbres-au-milieu-des-légumes

En décembre 2019 un jardin partagé travaillé en permaculture voyait le jour sur le terrain du presbytère. Ce jardin se veut à la fois pédagogique, intergénérationnel et solidaire. 

Les adhérents se retrouvent régulièrement, bêche en main, et la dernière séance collective a été l’occasion de planter huit arbres fruitiers, dont deux pour célébrer des naissances.

 Les parents de Juliette ont fait un don pour la plantation d’un poirier et ceux d’Hynaya pour un prunier. « La plantation d’un arbre pour une naissance est un symbole de vie. C’est un acte fort pour les générations futures. Il s’agit d’apprendre à l’enfant à respecter la nature. Et pour les adultes de s’engager dans une éthique environnementale », souligne Bruno Sorin, cofondateur du jardin. En un an ce sont treize arbres qui ont été plantés. 

Pour les responsables, ces plantations s’inscrivent dans un projet global face au réchauffement climatique.

Le jardin continue de s’équiper, quatre bacs surélevés ont été mis en place afin de permettre à des personnes âgées, handicapées, de jardiner sans se baisser.

---------------------------------------

Publié le 

Au jardin partagé en permaculture de l’Orée du Bourg, les adhérents se sont retrouvés lors de la séance collective du samedi matin, le 5 décembre, pour planter huit arbres fruitiers dont deux pour des naissances.


Un poirier a alors été planté pour celle de Juliette et un prunier pour celle d’Hynaya. « La plantation d’un arbre pour une naissance est un symbole de vie, c’est un acte fort pour les générations futures. Il s’agit d’apprendre à l’enfant à respecter la nature. Et pour les adultes, c’est un engagement auprès des générations futures face au dérèglement climatique », indique Bruno Sorin, président de l’association le Lien sautronnais.


En un an, ce sont treize arbres qui ont été plantés, par des dons libres ou en compensation carbone. Pour les responsables, ces plantations s’inscrivent dans un projet global d’une société respectueuse de l’environnement.


Dernièrement, quatre bacs surélevés ont été mis en place dans le jardin, permettant aux personnes à mobilité réduite de faire quelques semis sans avoir à se baisser.


---------------------------------------



Publié le  - Presse Océan




Récemment, Bruno Sorin et Robert Daubrée, les créateurs du jardin partagé, ont organisé une visite au profit des adhérents et amis.

Ainsi une vingtaine de participants, dont trois représentants du Potager de Jules et un du Jardin de Brimberne, ont suivi des explications en salle avant d’effectuer une visite détaillée du jardin.

Ce denier a la particularité d’être exploité en permaculture.
 Le jardin n’est qu’une facette, nous avons parlé également de réchauffement climatique, mode de vie et consommation, c’est un tout , souligne Bruno Sorin.

---------------------------------------


Publié le - Ouest-France

Formation en permaculture au cœur de Sautron


Les responsables de la section en permaculture de l’association Le Lien sautronnais ont organisé une formation, samedi.


Les dix-neuf participants se sont retrouvés en salle, puis au jardin. La formation a été ouverte à quatre personnes des Potagers de Jules (Sautron) et au Jardin de Brimberne (Couëron), dont la mutualisation de moyens, d’activités et de matériel est effective.


L’intervenant Arnaud Meillarec a présenté les enjeux, les principes et les objectifs de la permaculture : « Une éthique pour prendre soin de la terre, des humains et de partager les ressources». De nombreuses présentations sur l’agroécologie, en passant du zonage en permaculture ou du réchauffement climatique à la décroissance, ont étayé la formation.

Les responsables ont ensuite présenté le projet et les travaux effectués depuis décembre 2019.

Pour une première formation, les responsables ont été très satisfaits du nombre de participants et de leur appréciation à l’issue de cette matinée.

---------------------------------------



Publié le  - Ouest-France




Reportées pour cause de Covid, les portes ouvertes du Jardin boisé en permaculture, situé rue de la Vicairerie, ont enfin eu lieu. Les visiteurs, en grand nombre, ont déambulé entre les plates-bandes, dans lesquelles tomates et courges ont été les stars.


Les responsables du jardin ont pu expliquer le projet, son intérêt et son objectif s’inscrivant dans une démarche de conversion écologique. Des adhérents du jardin partagé de Cramphore (Le Pouliguen) et de Brimberne (Couëron) sont venus soutenir les initiateurs du jardin.


Cette journée a permis de faire plus de dix nouvelles adhésions familiales. Le déjeuner a été animé avec des morceaux d’accordéon. Les enfants se sont initiés, avec plaisir, avec cet instrument peu commun.


La prochaine échéance est la formation en permaculture, qui aura lieu samedi 10 octobre. Les séances collectives se poursuivent les mercredis et samedis, de 9 h 30 à 12 h 30. Deux classes de la rivière ont manifesté leur intérêt et les responsables du jardin vont bâtir, avec les enseignants, un contenu pédagogique adapté aux âges des enfants.



Publié le  - Presse Océan

Tomates, courgettes, courges et autres légumes de saison se développent allègrement dans ce jardin partagé. Niché à côté du presbytère, ce jardin a été créé en décembre 2019, par l’association Le lien sautronnais, dans un but à la fois pédagogique, solidaire et intergénérationnel. Aujourd’hui, seize familles adhérentes se sont investies dans ce projet.

Les adhérents travaillent en commun à tous les stades : semis, plantation entretien et récolte. « Prochainement, les plantations d’hiver vont démarrer. Nous installerons également une haie fruitière et une haie brise-vent » précise l’un des responsables. Le jardin va aussi s’enrichir de quelques plantations d’arbres fruitiers.

La parcelle est cultivée suivant la technique de la permaculture et une formation sur cette technique est prévue le samedi 12 octobre.

---------------------------------------

Publié le 

Sautron. Un jardin qui cultive la solidarité

Un jardin partagé est né au cœur du bourg, rue de la Vicairerie. Les adhérents y font pousser fruits et légumes qu’ils se partageront ou offriront aux associations.

Au cœur du bourg, à côté de la Vicairerie, une parcelle de jardin de 1 500 m2, est mise à disposition gracieusement par le diocèse, à l’association Le lien sautronnais.

Ce jardin sera travaillé en une parcelle unique et suivant la technique de la permaculture. Bruno Sorin et Robert Daubrée sont les porteurs de ce projet : « Les objectifs de ce jardin sont nombreux. Pour les adhérents, il permet d’accéder à une alimentation saine, et se réapproprier le plaisir de jardiner et de récolter ».

« Se réapproprier le plaisir de jardiner et de récolter »

Les instigateurs sont intarissables sur les bienfaits de ce projet : « C’est également l’occasion de créer du lien social par les échanges et les rencontres et faire preuve de solidarité car les récoltes seront partagées entre tous selon le principe d’une répartition équitable aux regards des besoins de chacun et le surplus sera donné à des associations », expliquent-ils.

Il n’y a pas de zone réservée par personne, les adhérents travaillent en commun à tous les stades : projets de semis, de plantations, d’entretien et de récoltes. « Nous espérons également créer une zone propice à la bio diversité et à l’éveil des consciences au sujet de la protection de la nature. Et afin d’apporter notre contribution à la compensation carbone, nous commençons par planter des arbres : un châtaignier et deux pruniers ».

Contact : 06 89 30 06 06 ou liensautronnais@gmail.com


Publié le 

Un jardin partagé au cœur de Sautron


Le terrain d’une surface d’environ 1 500 m2, localisé rue de la Vicairie, a pour objet de produire des fruits et légumes sains, tout en créant une zone propice à la biodiversité. Il appartient au diocèse de Nantes et est géré par la paroisse de Sautron. Une convention a été passée pour cinq ans entre la paroisse et l’association le Lien sautronnais. Cette dernière étant alors libre de développer son projet comme elle l’entend.

Les objectifs sont d’ores et déjà établis : contribuer à une alimentation saine, réduire l’empreinte carbone, favoriser la biodiversité, communiquer sur l’urgence climatique et les moyens de s’y attaquer et, enfin, mettre en œuvre le lien et la solidarité. « On se place vraiment dans un lien intergénérationnel, car ce que l’on ne fait pas pour le climat aujourd’hui se répercutera sur les prochaines générations », souligne Bruno Sorin, responsable de la section.

L’espace est entièrement dédié aux projets collectifs. Les adhérents travaillent en commun pour les semis, plantations, l’entretien et les récoltes. Le partage de ces récoltes se fait selon le principe de répartition équitable, aux regards des besoins de chacun. « Tous les surplus seront donnés à des gens dans le besoin », ajoute Robert Daubrée, également responsable.

Côté fonctionnement, le calendrier des travaux sera construit et partagé entre les adhérents, « une vingtaine pour l’instant, donc une vingtaine de familles derrière ». Des permanences hebdomadaires (mercredi et samedi, de 9 h 30 à 12 h, dans un premier temps) seront mises en œuvre pour optimiser la présence et donc le lien entre les différents adhérents.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire