Semaine du 23 janvier

 Mardi matin

Colette a étalé une brouettée de tonte. 

Il va falloir attendre le printemps pour faire le plein de verdure à l'entrée du Jardin ! 

Martine a extrait de la bonne terre végétale en éliminant les gros débris végétaux non décomposés.

Les "Brigittes" et  Isabelle ont  ainsi pu remplir les plates-bandes de la serre avec de nombreux allers-retours à la source. 

Et pourquoi ne pas tenter quelques bulbilles d'oignons rouges dans cette belle terre !

Les filles ont ensuite prélevé des  feuilles pour recouvrir les plates-bandes de la serre  et Bruno  a  reformé l'amas qui diminue petit à petit. 

Le niveau du tas a bien baissé à la fin de la  matinée !

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Vendredi matin 

Récupération de broyat de chêne vert 

qui contient des feuilles et du bois fragmenté.

Merci aux élagueurs de la société d'élagage Horizon

Vertical de Prinquiau qui l'ont délivré gracieusement au Jardin !

Lien vers des informations sur le bois raméal fragmenté

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Martine et 

Bruno ont terminé la récupération de la terre végétale du tas dont ils sont enfin venus à bout  à la fin de la matinée !

La terre végétale est stockée et prête à l'emploi.

 

Encore un peu de courage pour supprimer le composteur en plastique vert, après avoir récupéré le compost ..

déplacé dans le bac en bois du milieu. 

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Samedi matin

Martine 

et Brigitte ont désherbé l'allée menant au cabanon. 

3 brouettes ! Le compte est bon ...

Colette, Didier et Alain au chargement de broyat 

qu'ils ont déposé dans les allées ...

uniquement entre les plates-bandes pour éviter la faim d'azote lors des plantations de printemps. 

Lien vers des informations sur le bois raméal fragmenté

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Sous la serre 

Plate bande Nord, plantation de petites pommes de terre récoltées l'année dernière et déjà germées.

 

Plate bande Sud, idem ! 

Paillage pour protéger et  espoir d'une récolte de quelques pommes de terre primeurs si les nuits ne sont pas trop fraîches ! 

Alain a dégagé les bottes de paille qui encombraient une plate-bande et il a renforcé les planches qui maintiennent la terre.

Les allées ont été recouvertes de broyat 

et voici le résultat ...

Bien propret et presque coquet !

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Cette semaine,  signatures des conventions de partenariat  entre le Jardin partagé...

et l'école de la Rivière.

Pour la 3ème année, la classe de Mme Nalin participera aux activités proposées. 

Première année pour l'école de la Forêt !

Mme Esnault, invitée avec sa classe au goûter intergénérationnel organisé au mois de juin dernier, avait trouvé que  les activités proposées étaient tout à fait appropriées à sa classe de CP..

Prêtes à participer, c'est signé ! 

Rendez-vous au printemps !

Semaine du 16 janvier

Mardi matin 

Brigitte a inspecté le nichoir de la haie fruitière.

A l'ouverture, découverte d'un nid de guêpes abandonné !

avec ses alvéoles encore bien formées

Ces nids sont faits de papier mâché que les guêpes produisent elles-mêmes du printemps à la fin de l'été.

 Pour cela, elles arrachent des fibres végétales des écorces, des souches ou des morceaux de bois avec leurs mandibules. Elles mélangent ces fibres  à leur salive  pour former de la pâte à papier.

De retour au nid, elles l'étalent en fines couches, semblables à des feuilles de papier, toujours avec leurs mandibules. Les fibres sont alignées parallèlement pour renforcer la résistance du nid.

Les nids de guêpes sont par nature légers, à la fois isolants et respirants mais ils n'en restent pas moins un peu fragiles. Ainsi, ils ne servent qu'une seule année

 Le cycle de la guêpe

Au printemps, la reine sort de son hivernation et construit les premières alvéoles d’un nouveau nid dans lesquelles elle commence à pondre. 

Au bout d’un moment, en sortent des larves qui vont être nourries par la reine jusqu’à ce qu’elles deviennent des guêpes adultes. Ce sont toutes des femelles stériles, qui seront des ouvrières. Elles s’occuperont de la construction du nid, des soins aux larves et à la reine, de la recherche de nourriture, de la protection du nid, etc…   Seule la ponte reste la prérogative de la reine.

Les ouvrières ne vivant qu’une vingtaine de jours, la reine pond en permanence pour les remplacer. A la fin de l’été, le nid peut ainsi comporter plus de 5000 individus.

Mais, quand les températures chutent, la reine, au lieu de donner naissance à des ouvrières, va donner la vie à des mâles et à des femelles qui seront fécondées par les premiers. Ces guêpes femelles fertiles sont destinées à devenir des reines. Elles vont ensuite quitter le nid pour passer l’hiver dans un endroit sûr, comme sous les écorces d’arbres ou dans les crevasses des bâtiments.

Le reste de la colonie va mourir petit à petit, jusqu’à ce que le nid soit la seule preuve de l’existence de la colonie.  Un ancien nid est condamné à se décomposer, car il ne sera jamais repeuplé.

 Lorsque le printemps arrive, les reines  commencent à chercher des sites de nidification appropriés. Elles sortiront au printemps pour fonder leur nid.  

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Isabelle a arrosé sous la serre pendant la visite  de Chantal.

Lionel est venu encourager les jardinières qui ont commencé le désherbage de la haie fruitière. 

et il a proposé de jouer le photographe pour prendre les 3 courageuses à l'œuvre.

 Merci l'homme à la casquette !

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Samedi matin 

Il gèle et il gèlera ! Brigitte et Martine ont remis en place les voiles d'hivernage.  

Cette fois ci, c'est Gérard, l'homme au chapeau qui est passé nous voir. 

Suivi de Joël et de Lionel, car malgré le froid, il fait toujours bon discuter un brin au Jardin.  

Bien entendu, Chantal est, elle-aussi, venue faire son petit tour.

  Brigitte et Martine ont repris le nettoyage de la haie fruitière pendant que Didier cueillait la mâche sauvage.

2 cagettes comme celle là bien remplies !

La mâche est une plante annuelle qui a la particularité de démarrer son cycle (germination, croissance, floraison, fructification, mort) dès l’automne. C’est pour cela que l’on peut trouver ses rosettes de feuilles pendant tout l’hiver. 

La doucette est pleine de vertus.  Elle possède une teneur élevée en bêtacarotène, en  oméga-3, en  vitamines B1, B2, B3, B6 et acide folique. Elle contient 3 ou 4 fois plus de vitamine C que la laitue. Elle est également riche en fer, calcium, magnésium, potassium, zinc et cuivre.

A consommer sans modération  !

Brigitte et Didier ont déposé des feuilles sur la partie désherbée pendant que Martine plantait des bulbes pour fleurir le pourtour des pommiers au  printemps !

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Les gourmands pourront trouver une nouvelle recette de tian aux légumes testée et appréciée par Brigitte sur la page" Recettes"  du Blog.

https://jardin-oree-bourg-sautron.blogspot.com/p/les-recettes.html
 

Semaine du 9 janvier

Mardi matin   

Préparation du panier de légumes destiné à  "Solidarité à Sautron". 

Brigitte et Martine ont récolté des topinambours pleins de terre qu'il a fallu laver.

Des cardes, du chou kale et du butternut ont complété le panier.  

Isabelle a taillé les framboisiers 

puis a  coupé les tiges dans le composteur

avec l'aide de Didier.

Bruno a continué le tamisage du tas provenant de l'amoncellement de la terre récupérée lors des travaux et des herbes arrachées qui se sont décomposées  petit à petit.

Cela a donné un bon terreau qui alimente les bacs surélevés.

Brigitte et Martine ont désherbé les plates-bandes et les allées,

et déposé des feuilles.

pendant que Didier ramassait  les potentilles arrachées jusqu'aux racines !

 

Arrosage de la terre sous la serre !

Par contre, la terre est saturée d'eau dans la brouette réservée aux fleurs !

Martine a percé quelques trous pour évacuer le trop plein.

La récolte à partager.

 Colette est venue nous rencontrer au Jardin...

  Elle est prête à chausser ses bottes  pour rejoindre les jardinières et jardiniers de l'Orée du Bourg  ! 

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Samedi matin 

Brigitte a regardé dans les nichoirs pour vérifier s'il y a eu des nichées l'an dernier.

Ouvrons le nichoir près de la cabane du hérisson  

  

pour trouver un petit nid douillet des mésanges bleues du Jardin ? 

Malheureusement, rien dans celui d'à côté.

Les oiseaux repèrent les logements disponibles pendant tout l'hiver, mais la recherche s'intensifie à partir du mois de février, d'où l'importance de leur préparer un logement propre.

Durant l’hiver, le nichoir peut servir d’abri à des oiseaux, insectes et petits rongeurs. Pour  que le  nichoir soit  occupé  par des oiseaux au printemps, il faut le nettoyer.

Un bon nettoyage peut limiter ou arrêter la prolifération de parasites ou d’agents pathogènes. 

- Vider le nichoir.  Il vaut mieux enlever le nid précédent. En effet, les mésanges (par exemple) pourraient reconstruire un nid au-dessus du premier et  leurs petits seraient  plus près de la sortie, avec un risque de chute pour les petits et une chance pour les prédateurs…

- Nettoyer l’intérieur à la brosse avec du vinaigre ménager (ou de l’eau bouillante) ou un peu d’eau de javel si le nichoir semble avoir été occupé par des rongeurs (dans ce cas, rincer minutieusement). 

- Déboucher les petits trous d’évacuation d’eau.

- Vérifier si une fissure peut entraîner une entrée d’eau en cas de pluie. Dans ce cas, la reboucher. 

- Laisser sécher à l’air libre et au soleil avant de refermer et raccrocher solidement  le nichoir.

En espérant retrouver nos hôtes au printemps !