Le ver du fumier mesure généralement de
4 à 5 cm de long.
Il se nourrit de végétation en décomposition et contribue au compostage de la matière organique ou du fumier. Très prolifique, ce vers se reproduit rapidement, Il vit en milieu aéré et respire par sa peau toujours humide et visqueuse qui permet le passage de l'air. Le ver adulte mange l'équivalent de la moitié à une fois son poids par jour. Sa durée de vie n'est que de 3 mois.
Il a pour habitude de se trouver dans les 20 premiers centimètres en dessous du niveau du sol, c'est un ver épigé
Les anéciques sont des vers de terre de grande taille (environ 10 cm de
long chez les adultes, avec un diamètre de l'ordre de 4 à 8 mm) vivant en
moyenne de 4 à 8 ans.
Constituant 80 % de la masse des lombrics, ils vivent dans des galeries verticales ou presque verticales qu'ils creusent dans le sol jusqu'à un mètre de profondeur.
Les galeries verticales des vers anéciques débouchent à la surface du sol. Ces vers sortent la nuit pour échapper à leurs prédateurs (oiseaux, insectes) en laissant leur queue dans la galerie.
Ils se nourrissent des débris végétaux en décomposition qui recouvrent le sol. Ils en enfouissent une partie dans leurs galeries et les laissent alors se décomposer sous l'action des micro-organismes pour enfin l'ingérer avec de la terre. Les déjections sont rejetées à la surface du sol sous forme de petits monticules appelés turricules ou sur les parois des galeries.
.Bénéfices pour les sols
·
Leur action contribue à brasser la matière organique et minérale du sol.
·
Ils ensemencent le sol en micro-organismes qui transitent dans leur intestin.
Ces micro-organismes contribuent à transformer la matière organique.
·
La création de rugosités de surfaces sous forme de turricules limite
l'érosion des sols
·
Leur galeries verticales et débouchant en surface améliorent les échanges
gazeux et la respiration des
sols
·
Les galeries permettent aussi une infiltration de l'eau de pluie plus
profonde et rapide, ce qui améliore la rétention d'eau du sol et limite le
phénomène de ruissellement
· Le micro-réseau hydrique du sol est amélioré, le ressuyage du sol est aussi plus rapide
Le trou pour un des pieds de vigne prévu dans la haie fruitière manquait. Robert et Didier ont remédié au problème !
Vendredi - livraison des arbres fruitiers greffés de la maison du Bananier
1 noyer, 1 prunier et un poirier sur tige et 3 poiriers scions.
Le greffage est un mode de reproduction végétative qui consiste à implanter dans les tissus d'une plante (nommée « porte-greffe ») un bourgeon ou un fragment quelconque (nommé « greffon »), prélevé sur une autre plante
L’intérêt de la greffe est d'associer les
caractéristiques du porte-greffe et du greffon, le premier
apportant notamment l'adaptation au sol et au climat, la
rusticité et la vigueur par exemple, le second celles des produits
sélectionnés, fruits et fleurs par exemple que l'on désire
obtenir.
Samedi - Plantation des arbres
- Habillage des racines, ce qui consiste à tailler les racines abîmées ou les racines trop longues.
- Pralinage des racines, ce qui consiste à enrober, avant la plantation, les racines avec un
mélange boueux à base d'argile. Le pralin forme une gaine protectrice autour
des racines, ce qui favorise leur cicatrisation (plaies causées par l’habillage)
et évite l'installation de parasites ou
de maladies ;
- Déterminer la profondeur à laquelle placer les racines. Il ne faut enterrer,
- ni le collet (point de jonction entre les racines et le tronc) qui est une partie fragile de la plante. S'il est enterré, il peut arriver que celui-ci pourrisse ; les échanges entre la partie souterraine et les parties aériennes ne se font plus ; la mort de la plante est alors inévitable.
- ni le point de greffe qui forme un bourrelet plus ou moins grand sur le tronc. Si le point de greffe est enterré, le greffon peut émettre des racines et s’affranchir, par la suite, de son porte-greffe. Le sujet greffé risque alors de végéter, voire de mourir si le système racinaire de la variété greffée est fragile.
- Remplir le trou avec un mélange de terreau et de terre végétale
- Arroser pour que les racines soient bien en contact avec la terre sans poche d'air
- Recouvrir de feuilles l'emplacement
- Enfin, tuteurer l’arbre pour le maintenir bien droit et faciliter son enracinement, surtout en cas de vent fort.
C'est parti pour Le Noyer
Les noyers sont originaires des régions tempérées
et chaudes principalement de l'hémisphère nord (Eurasie, Amérique du Nord).
Le poirier Williams est Originaire du Royaume Uni et facile de culture.
Quand mangera t'elle la première poire ?
Le prunier fut apporté à François Ier par l'ambassadeur du royaume de France de la part de Soliman le Magnifique, Sultan de l'Empire ottoman. Il lui fut donné l'appellation « Reine-claude » en l'honneur de Claude de France, (fille d'Anne de Bretagne et femme de François Ier ).
Le prunier Bavay, obtenu en 1843, est auto-fertile et un bon pollinisateur pour les autres variétés.
Nous ne manquerons pas de fêter l’événement la prochaine fois que Fatima viendra !
Le scion est un jeune plant greffé d'1 an. Il ressemble à une « baguette » puisqu'il est constitué d'un axe central légèrement ramifié. Cette forme de base permet de lui offrir la forme que l'on désire.
Au milieu de la haie, plantation d'un poirier Doyennée du Comice :
Mamilou, sa marraine très souriante et rayonnante est heureuse de présenter son protégé.
A bientôt pour suivre sa croissance !
Et le dernier, est un poirier Beurré Hardy
Ce poirier, réputé pour sa durée de vie très élevée (parfois près de 200 ans), est un arbre originaire d’Europe et d’Asie.
Les poiriers des 3 M sont en place !
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et sous le soleil !
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Superbe semaine qui voit tant de choses de concrétiser et super post où on apprend plein de choses . Samedi prochain interro sur les vers ?
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